Le fleurissement des massifs en ville a déjà évolué.

Les jardinières sont occupées à 80 % par des vivaces, auxquelles s’ajoutent des bisannuelles comme les pensées. Lorsque les vivaces sont trop grandes, elles sont rempotées et utilisées pour la décoration, et les bulbes sont données aux écoles.

La municipalité a toujours eu  un temps d’avance : cela fait 15 ans, par exemple, que la ville installe des plantes méditerranéennes dans ses massifs. Qu’est-ce qu’on n’a pas entendu à l’époque !

Et pourtant, maintenant, tout le monde s’y met car elles sont beaucoup moins gourmandes en eau.