⚠️ Plusieurs communes de l’agglomération rencontrent ce samedi 17 février une panne d’accès à Internet ( Coudekerque-Branche en fait partie ).
Le problème a été identifié au niveau d’un boîtier ( rupture d’un faisceau). Le délégataire de service est en cours d’intervention et annonce un retour à la normale en fin de matinée.
Eramet, groupe minier et métallurgique français implanté sur 5 continents et comptant plus de 10 000 collaborateurs, porte un projet de construction d’une usine de recyclage de batteries de véhicules électrique. L’installation devrait s’implanter à Dunkerque, au sein de la zone industrialo-portuaire du Grand port maritime de Dunkerque (GPMD), et créer plus de 200 emplois directs.
Une concertation préalable est organisée à ce sujet entre le 4 mars et le 30 avril 2024, garantie par de la Commission nationale du débat public (CNDP) qui a désigné deux garants. L’objectif de la démarche est de permettre à toute personne intéressée de s’informer sur le projet, débattre de son opportunité et des modalités de sa réalisation.
Durant cette période, des supports d’information sur le projet est mise à disposition du public dans notre mairie. Les habitants peuvent s’informer et s’exprimer sur le projet :
Plusieurs temps d’échanges avec le public sont organisés, permettant avec celui-ci de prendre part activement à la concertation et d’apporter ses avis et contributions au projet :
Et trois rencontres de proximité :
Si vous souhaitez poser des questions sur la concertation et ses modalités, vous pouvez vous adresser directement aux garants de la CNDP : MM. Jean Luc RENAUD et Jean Raymond WATTIEZ (concertation-relieve@garant-cndp.fr). Les questions concernant le projet lui-même doivent en revanche être préférentiellement posées directement au maître d’ouvrage.
Emploi des personnes handicapées : Coudekerque poursuit et renforce son engagement
Coudekerque-Branche est l’une des rares collectivités à ne pas devoir s’acquitter de pénalités (voulues par la loi) au titre de l’emploi des personnes présentant un handicap dans la fonction publique territoriale. Au 21 décembre 2022, la ville employait 38 agents en situation de handicap, soit 10 % de l’effectif – l’obligation légale est de 6 %.
C’est le fruit d’une politique volontariste menée dans les recrutements, mais aussi depuis plusieurs années par des marchés publics confiés à des entreprises permettant l’insertion de travailleurs handicapés.
Après le Maître de Poste et la bibliothèque d’études Léonce Baron, c’est le Château Lesieur, haut lieu du patrimoine communal lui aussi, qui va bénéficier à son tour d’investissements de la part de la municipalité.
Les récentes rénovations de la bibliothèque d’études et archives municipales ainsi que de l’espace du Maître de Poste démontrent la politique volontariste menée pour préserver le patrimoine communal, qui plus est, très utilisé par les habitants et usagers.
Fort de cette logique, en 2024, la ville a prévu de continuer les travaux engagés sur le Château Lesieur situé dans le Vieux Coudekerque. Si les salles d’exposition et de conférences du bas ont déjà bénéficié d’une rénovation totale ainsi que les sanitaires et espaces de convivialité ; les huisseries, menuiseries, appentis, extérieurs, bancs et dépendances bénéficieront à leur tour d’un coud’neuf.
Un budget de 80 000 € a été prévu pour garder intact la mémoire du passé industriel de notre ville.
Avec leurs yeux perçants et leurs moustaches pleines de mystères, les chats ont vite fait de jouer la carte de la séduction. Au point qu’il est fréquent de voir des habitants nourrir les plus farouches épris de liberté. Pour autant, la surpopulation féline peut causer des problèmes de sûreté, de sécurité et de salubrité publique.
Un couple de chats non stérilisés peut engendrer plus de 20 000 descendants en quatre ans !
Pour trouver une parade à cette situation, la ville de Coudekerque-Branche s’est associée aux associations spécialisées comme l’école du chat, ou encore la SPA avec qui un partenariat fort a été signé. Il s’agira pour la commune d’organiser des campagnes de captures des chats errants sur des périmètres bien définis. Tout chat capturé présentant une marque d’identification sera restitué à son propriétaire.
Les autres seront stérilisés avant d’être remis en liberté.
Pour l’équipe municipale, l’enjeu est clair et même renforcé depuis la crise de l’énergie. Il faut agir de manière globale pour atténuer en ville les effets du réchauffement climatique et ses conséquences.
En deux ans, les factures de gaz et d’électricité de la commune ont augmenté de près de 3 millions d’euros : il faut agir. Il n’y a d’autre voie que de s’adapter au changement, souvent par des mesures peu visibles du grand public mais essentielles pour la qualité de vie de tous.
Trois grands axes ont été définis pour surmonter ce défi, à la fois aujourd’hui et demain.
Ces solutions, c’est insérer des clauses vertes dans les achats publics, être la 1ère ville à avoir supprimé le plastique dans les crèches, la restauration scolaire bio et locale bien avant que la loi ne l’oblige. C’est aussi avoir le courage de revoir complètement le système de chauffage de la future piscine (dans toutes les communes c’est le bâtiment le plus énergivore) et lancer en même temps que le chantier de construction un réseau de chaleur urbain qui permettra de récupérer la chaleur sous le grand parking derrière la mairie pour la réinjecter dans le circuit de chauffage de l’eau des bassins.
C’est ouvrir cette année la maison de Mario, un lieu des transitions pour accompagner les concitoyens à ces changements et tout faire pour éviter qu’ils soient les victimes de ces hausses continues de l’énergie (comme cette nouvelle augmentation de l’électricité au 1er février de près de 10 %).
Ce sont des sujets complexes et des investissements souvent moins visibles qu’une nouvelle aire de jeux, un square rénové ou une place refaite à neuf comme nous avons l’habitude, mais qui sont aujourd’hui nécessaires et qui nous donneront raison dans quelques années.
230 000 € prévus au budget 2024 pour relancer le projet de transformation de la villa malouine en maison de la danse. L’Europe a retiré ses subventions promises, ce qui a ralenti le projet. Monsieur le Maire est reparti à la chasse aux subventions et le projet est relancé avec en 2024 le financement de l’étude et la démolition de la petite pâtisserie mitoyenne.
Ce bâtiment ancien, laissé à l’abandon au milieu des années 90, est idéalement situé près de la route de Bergues à l’entrée du quartier du Vieux Coudekerque. En sauvegardant la maison existante, l’idée est de préserver notre patrimoine puisque c’est la seule villa malouine avec cette architecture très reconnaissable que possède Coudekerque-Branche.
Un accès et un parking seront créés (à l’endroit où se trouve l’ancienne pâtisserie), ainsi qu’une grande extension en prolongement du bâtiment existant qui permettra d’accueillir les nombreux pratiquants en danse. De l’école municipale de danse classique au modern jazz, en passant par les danses de salon et toutes les structures qui portent ces belles disciplines en ville. Ce projet d’envergure enfin relancé grâce à la pugnacité du maire devrait se réaliser sur un peu plus de deux années.
L’espace Jean Vilar affichait salle comble, le 16 janvier dernier pour la cérémonie des voeux. L’occasion pour le maire, David Bailleul, de mettre à l’honneur celles et ceux qui s’engagent activement pour leur ville.
Aboutissement de plusieurs années de travail acharné – remis en cause par la Covid et une explosion des prix de la construction à laquelle toutes les villes sont confrontées – le chantier de construction du nouveau centre aquatique est officiellement lancé.
Le samedi 13 janvier, le maire, David Bailleul, a posé la première pierre du futur centre aquatique, entouré de tous les partenaires du projet : les représentants de la région, de l’État et du conseil municipal de Coudekerque-Branche, les conseillers départementaux, Barbara Bailleul et Julien Gokel, et le président de la Communauté urbaine de Dunkerque, Patrice Vergriete.
Première pierre d’un chantier d’envergure, qui démarre pour une durée d’environ 20 mois et pour lequel Monsieur le Maire s’engage à être mobilisé sans relâche.
Ce samedi 20 janvier 2024, un rempoissonnement a été réalisé dans les douves du parc du fort Louis afin d’enrichir l’offre en poissons pour les pratiquants de la pêche.
Le gardon, poisson vedette du parc du fort Louis mais pas que…
L’objectif de cette réintroduction en début d’année est de permettre aux poissons de grandir et de se développer. Pour information, la pêche dans les douves du parc est interdite jusque mars afin de favoriser la reproduction.
Pour rappel, Coudekerque-Branche, ville attachée au bien-être animale, autorise la pêche « No kill » sur son parcours de pêche (c’est à dire que les pêcheurs relâchent leurs prises).
