Hauts-de-France

Lutte contre l’obésité infantile : ayez le réflexe Préval Jeunes

La ville est partenaire du réseau Preval qui a ses locaux au sein de l’EPIS, place de la Convention. Le dispositif Preval jeunes vient en aide aux enfants présentant un excès de poids. Celui-ci complète les autres actions de sensibilisation mises en place par la ville comme les ateliers cuisine pour apprendre aux jeunes à manger équilibré.

« La prévalence de l’obésité dans le Nord est supérieure aux normes nationales : 26 % d’obésité adulte dans le Nord contre 17 % au niveau national », c’est l’état des lieux précisé par Marie Odile Vanhille-Halloo, directrice de l’association de santé Preval. De surcroît, la région Hauts-de-France est reconnue pour être celle où le nombre de jeunes en surpoids est le plus important.

Afin de prévenir le risque d’obésité, le réseau Preval a mis en place des séances de groupes par tranche d’âge, le mercredi matin et après-midi, à destination des enfants de 8 à 15 ans, en excès de poids. L’objectif de ces séances est de sensibiliser les jeunes et leurs parents à la bonne alimentation et aux bienfaits de l’activité physique. Les ateliers sont encadrés par une équipe pluridisciplinaire composée d’une diététicienne, d’une psychologue et d’une éducatrice médico-sportive. Afin de bénéficier de cette aide précieuse gratuite, il suffit de vous rapprocher de votre médecin traitant.

Renseignements :
Place de la Convention – 03 28 66 77 77
Site : https://www.diabete-obesite.fr/
Facebook : reseaupreval

Le pacte éducatif du Dunkerquois a été signé à Coudekerque-Branche

Trop de jeunes sont encore sans emploi et certains quittent l’école sans diplôme dans le Dunkerquois (34 % dans la CUD contre 21 % au niveau national), d’où l’importance du pacte éducatif !

Monsieur le Maire s’est rendu à la signature du pacte éducatif au lycée professionnel Fernand Léger, en présence de Georges-François Leclerc, préfet de la région Hauts-de-France, Patrice Vergriete, président de la Communauté urbaine de Dunkerque, Valérie Cabuil, rectrice de la région académique Hauts-de-France et Barbara Bailleul, conseillère départementale.

Monsieur le Président : Quand arrête-t-on la machine à broyer la proximité ?

Voilà en substance, le message que j’ai essayé de faire passer au Président de la République lors de mon intervention, à l’Elysée, invité en tant que Maire d’un chef-lieu de canton de la Région Hauts-de-France.

En effet, je m’étais engagé à porter au plus haut sommet de l’Etat les revendications coudekerquoises émanant du débat national et j’ai pu tenir cet engagement.

Trois sujets importants à mes yeux pour l’avenir de notre commune ont été évoqués lors de ma prise de parole.

Tout d’abord, j’ai abordé la question de la proximité et l’importance de donner aux communes les moyens d’agir, mais aussi d’arrêter la réduction des services publics et des services aux usagers.

Ce qui a permis d’évoquer pêle-mêle les baisses de dotations, les suppressions des moyens de l’Etat et les transferts de compétences vers les collectivités sans leur attribuer les moyens nécessaires.

“Je crois, au travers des propos énoncés, avoir tenu mon rôle, qui est, d’abord, celui d’être votre représentant.”

En fervent défenseur de la démocratie participative, j’ai rappelé que ce grand moment, libre de parole, peut révéler une issue positive pour nos concitoyens, à condition que les mots soient suivis d’actes.

Ce n’est qu’avec cette philosophie que la parole publique garde tout son sens auprès des habitants.

“Enfin, fort de mon expérience personnelle de Maire de ma ville natale, depuis 2008,j’ai insisté sur le fait qu’en 10 ans les gens n’ont pas changé, ce qui a évolué c’est la difficulté et la cherté de la vie autour d’eux.”

A l’échelle locale, nous essayons de préserver un pouvoir de vivre.

Au tour de l’Etat de garantir un pouvoir d’achat.

Comme vous le savez, peu adepte des grands rassemblements, j’ai accepté cette invitation de la Présidence de la République à condition de ne pas y faire de la figuration.

À l’heure où j’écris ces lignes et suite au terrible événement de Notre Dame de Paris, les réponses à ces questions ne sont pas encore rendues. Je souhaite ardemment avoir été entendu pour vous, pour notre quotidien.

 

Votre Maire

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