prix

Pour passer l’hiver : ne rien lâcher !

Les mairies subissent l’inflation de plein fouet notamment avec le coût vertigineux de l’énergie l’envol de son prix. Cette situation s’est encore dégradée cet été, et c’est sans compter sur le fait que la moitié des réacteurs nucléaires sont aujourd’hui à l’arrêt. Nous n’avons de cesse de dénoncer cette situation depuis des mois sans réponse réelle pour l’instant du Gouvernement,

“l’Etat vole au secours des entreprises privées très énergivores mais refuse le tarif réglementé aux communes pour chauffer leurs écoles ! On marche là aussi sur la tête.”

Ce coût intenable, 335 % d’augmentation pour l’électricité et plus du doublement de la facture de gaz nécessaire au chauffage pour la ville de Coudekerque-Branche, peut entraîner des conséquences en cascade si nous n’agissons pas au plus vite.

C’est pour cela que, depuis cet été, j’ai mobilisé une bonne partie de mon énergie à mettre en place un plan d’actions de 23 mesures qui se déploie actuellement. Il fait aussi appel au bon sens des usagers, à la prise en compte de la situation de tous et à un travail de fourmi de contrôle quasi-journalier pour éviter d’un côté un chauffage non éteint ou de l’autre un éclairage oublié par le dernier utilisateur.

C’est épuisant à mener et c’est très souvent l’équipe municipale qui est sur le terrain pour ce type de contrôle au quotidien. Nous n’avons malheureusement pas d’autre choix afin d’éviter de faire payer cette inflation galopante aux Coudekerquois, ce que je me refuse bien évidemment.

Malgré cela, notre priorité d’améliorer votre quotidien est toujours chevillée au corps et les grandes actions présentées dans ce magazine concernant la santé le démontrent ô combien.

Des actions innovantes risquent d’être encore confortées, je le souhaite ardemment, par une mesure supplémentaire que nous sommes en train de mener avec l’Agence Régionale de Santé

“afin de pouvoir, dans un centre de soins municipal, permettre des permanences de médecins généralistes retraités qui seraient sous contrat avec la Ville. Ce qui renforcerait un peu plus l’offre de médecins généralistes et soulagerait ceux en place dans la commune qui ne peuvent plus prendre de nouveaux patients.”

Nous ne réussirons à surmonter cette crise énergétique et ses lourdes conséquences que si tout le monde s’y met.

 

Votre Maire

 

 

La part communale de la taxe foncière n’a pas augmenté

Malgré la non augmentation de la part communale, la taxe foncière peut différer cette année

La part communale de la taxe foncière n’a pas augmenté depuis 14 ans. Et cette année encore, la municipalité n’a pas grossi ses taux. Par contre, depuis 2018, la valeur cadastrale de votre habitation est revalorisée par les impôts selon l’indice des prix à la consommation.

Compte tenu de la reprise de l’inflation, certains propriétaires pourraient voir augmenter – du fait du calcul de l’État et en aucun cas de la part de la commune – la valeur de leur bien et donc le montant de l’impôt foncier.

 

 

Grand prix cantonal de la lecture : les collégiens ont fait leur choix

Barbara Bailleul, Conseillère départementale, a organisé le premier Grand prix cantonal de la lecture, avec l’aide des documentalistes de tous les collèges du canton (tous ont répondu à l’appel !).

Après lecture de plusieurs ouvrages, les collégiens ont débattu et c’est le livre « 12 jours sans parents », de Sophie Rigal-Goulard, qui a remporté le prix.

 

 

Défense du pouvoir d’achat des Coudekerquois

Les manifestations récentes à l’échelle nationale et les hausses constatées dans différents domaines de la vie quotidienne (énergie, carburant par exemple) ont entraîné la décision du Conseil Municipal de ne pas indexer les tarifs communaux sur l’évolution des prix en 2019.

Aucune augmentation des tarifs communaux pour 2019

En 2019, il y aura un gel des tarifs communaux et donc aucune augmentation, afin de préserver le pouvoir d’achat de tous les Coudekerquois.

La piscine sera toujours parmi les moins chères du Département du Nord, les tarifs des cantines malgré le passage au 100 % bio et à la fabrication locale n’augmenteront pas, tout comme la restauration à domicile pour les personnes âgées, les centres de loisirs, le périscolaire, les crèches, l’école de musique, les Beaux-Arts : avec au total de plus de 54 activités. Une décision qui montre la considération de la ville envers les habitants, dans cette période où le pouvoir d’achat est une question sensible pour nombre d’entre eux.

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