coudekerque-branche

Une illustration unique par Mikko Umi

Après s’être intéressé à Malo-les-Bains, Rosendaël ou Grand-Fort-Philippe, l’artiste régional Mikko Umi a eu un coud’cœur pour notre cité du hérisson et en a imaginé sa version. Des affiches, des sacs en toile et des Tee-shirts seront édités en nombre limité.

A la rencontre de Mikko Umi

Coud’cœur :Pour ceux qui ne vous connaîtraient pas encore, pouvez-vous vous présenter ?

Mikko Umi : Je suis originaire de Dunkerque. On me connaît sous le nom de Mikko Umi. Mon style peut se définir ainsi : art graphique, où la couleur a son importance.

Coud’cœur :Vous avez eu un « coud’cœur » pour notre commune, comment avez-vous choisi les éléments mis en avant dans votre œuvre ?

Mikko Umi : Monsieur le Maire avait repéré mes visuels réalisés pour d’autres communes voisines et m’a sollicité pour faire une version coudekerquoise. Ne connaissant pas très bien la commune, je m’y suis promené à plusieurs reprises et, effectivement, j’ai pu m’apercevoir qu’un large choix s’offrait à moi ! Cela n’a pas été évident de faire une sélection, mais j’y ai représenté les lieux les plus emblématiques et esthétiques selon moi.

 

Où se procurer l’illustration ?

Vous pourrez vous procurer les produits dérivés avec l’illustration de Mikko Umi à l’Office de tourisme de Coudekerque-Branche. L’artiste, comme à son habitude, fera un tirage de l’affiche limité, numéroté et signé (30 exemplaires). Les commandes pourront être passées sur le site internet : www.mikkoumi.fr

Renseignements : Centre Culturel Aragon – 03 28 64 60 00

 

Une déclinaison du visuel grandeur nature

La ville a également fait appel à l’artiste pour réaliser une fresque de 40 mètres de long, dans le cadre de la réhabilitation de la place du bicentenaire. Après la fresque Ric Hochet réalisée près de l’école Desnos, ou faite devant les quais de la gare, l’art continue de sortir dans la rue à Coudekerque-Branche afin de le rendre accessible à tous gratuitement.

Agir pour les personnes handicapées

La ville de Coudekerque-Branche s’est engagée à rendre accessible l’ensemble des bâtiments communaux à tous. Pour ce faire, elle a élaboré un Agenda d’Accessibilité Programmée pour se mettre en conformité, que vous pouvez retrouver sur le site internet de la commune.

Et aussi…

  • 10 squares réaménagés et rendus accessibles.
  • Installation au parc du Fort Louis (unique sur le littoral) d’une aire de jeux pour enfants à mobilité réduite et en fauteuil.
  • 1 million d’euros sur 9 ans dédié à la mise en accessibilité de tous les bâtiments communaux en ville.
  • Poursuite de la mise aux normes des installations ouvertes.
  • Subventions et soutien à la création de sections handisports dans les clubs sportifs de la ville (12 sections handisport ont été créées).
  • Création au manège équestre communal de la section handi équitation (une première dans l’agglomération).
  • Création d’une classe d’inclusion (accueil à l’école Queneau des enfants de l’institut d’éducation motrice Jacques Collache).
  • Partenariat avec l’Institut d’Education Motrice Jacques Collache.
  • 15 enfants handicapés accueillis en moyenne dans nos centres aérés.
  • Intégration dans tous les nouveaux projets de logements communaux d’un pourcentage d’habitations permettant l’accueil de personnes à mobilité réduite.

Monsieur le Maire reçu à l’Elysée

Dans le cadre de la restitution du grand débat national, Monsieur le Maire a été reçu à l’Élysée. Lors de la réunion publique qui s’est tenue en février à Coudekerque-Branche et suite aux nombreuses doléances inscrites dans le cahier mis à disposition en mairie à cet effet, Monsieur le Maire s’était engagé à remettre personnellement et au sommet de l’Etat les revendications coudekerquoises.

C’est chose faite et l’engagement a été tenu puisque, le 29 mars, Monsieur le Maire a pu remettre les documents au Président de la République et l’interpeller sur 3 questions.

 

Monsieur le Président : Quand arrête-t-on la machine à broyer la proximité ?

Voilà en substance, le message que j’ai essayé de faire passer au Président de la République lors de mon intervention, à l’Elysée, invité en tant que Maire d’un chef-lieu de canton de la Région Hauts-de-France.

En effet, je m’étais engagé à porter au plus haut sommet de l’Etat les revendications coudekerquoises émanant du débat national et j’ai pu tenir cet engagement.

Trois sujets importants à mes yeux pour l’avenir de notre commune ont été évoqués lors de ma prise de parole.

Tout d’abord, j’ai abordé la question de la proximité et l’importance de donner aux communes les moyens d’agir, mais aussi d’arrêter la réduction des services publics et des services aux usagers.

Ce qui a permis d’évoquer pêle-mêle les baisses de dotations, les suppressions des moyens de l’Etat et les transferts de compétences vers les collectivités sans leur attribuer les moyens nécessaires.

“Je crois, au travers des propos énoncés, avoir tenu mon rôle, qui est, d’abord, celui d’être votre représentant.”

En fervent défenseur de la démocratie participative, j’ai rappelé que ce grand moment, libre de parole, peut révéler une issue positive pour nos concitoyens, à condition que les mots soient suivis d’actes.

Ce n’est qu’avec cette philosophie que la parole publique garde tout son sens auprès des habitants.

“Enfin, fort de mon expérience personnelle de Maire de ma ville natale, depuis 2008,j’ai insisté sur le fait qu’en 10 ans les gens n’ont pas changé, ce qui a évolué c’est la difficulté et la cherté de la vie autour d’eux.”

A l’échelle locale, nous essayons de préserver un pouvoir de vivre.

Au tour de l’Etat de garantir un pouvoir d’achat.

Comme vous le savez, peu adepte des grands rassemblements, j’ai accepté cette invitation de la Présidence de la République à condition de ne pas y faire de la figuration.

À l’heure où j’écris ces lignes et suite au terrible événement de Notre Dame de Paris, les réponses à ces questions ne sont pas encore rendues. Je souhaite ardemment avoir été entendu pour vous, pour notre quotidien.

 

Votre Maire

Ateliers informatiques pour tous

La ville de Coudekerque-Branche propose des ateliers informatiques dans les maisons de quartiers de la ville. Ce service est gratuit.

Centre social Josette Bulté
Mardi :
* 8h45-10h30
* 10h45-12h15
* 14h15-16h sur rdv

Mercredi :
* 8h45–10h30
* 10h45-12h15
* 14h15-16h00
* 16h15-17h45

Jeudi :
* 8h45–10h30
* 10h45-12h15
* 14h15-16h00
* 16h15-17h45

Samedi :
* 8h45–10h30
* 10h45-12h15

Renseignements
Centre Social Communal Josette Bulté – Tél : 03 28 63 01 90

Maison de quartier du Vieux Coudekerque
Chaque vendredi dans votre maison de quartier :

* 8h45–10h30
* 10h45-12h15
* 14h15-16h00
* 16h15-17h45

Renseignements
Maison de quartier du Vieux Coudekerque – Tél : 03 28 28 95 20

 

L’objectif de plus de 1 000 entreprises

L’objectif ambitieux d’atteindre 1 000 entreprises et commerces dans notre ville est atteint. Avec 44 implantations de sociétés, de commerces et d’artisans en 2018, Coudekerque-Branche comptabilise désormais 1 011 structures économiques recensées au sein du répertoire du SIREN (organisme national).

Lorsque l’équipe municipale avait annoncé vouloir atteindre 1 000 entreprises sur le territoire, nombre d’observateurs pensaient cela impossible. Pourtant, aujourd’hui, les zones économiques sont remplies et de nouvelles aires commerciales ont ouvert (entrée route du Bourbourg ou autour du Chronodrive).

Ce développement économique a permis, selon les chiffres de l’agence d’urbanisme du Dunkerquois, de créer plus de 1 000 emplois ces dernières années.

2020-08-27T09:27:35+02:0022 mars, 2019|Catégories : Zoom|Mots-clés : , , |

La stratégie municipale contre les exclusions

L’isolement a souvent de multiples visages : celui d’une personne âgée, d’une femme seule avec des enfants, d’un enfant, d’un travailleur qui voit son pouvoir d’achat toujours plus réduit. C’est pour cela que la ville de Coudekerque-Branche mène au quotidien, au travers de toutes ses actions, une politique qui ne laisse personne sur le bord de la route.

“Alors que le dernier conseil municipal a salué la bonne gestion communale, j’ai souhaité rappeler que l’on peut bien gérer les finances de la ville tout en conservant une politique qui ne laisse personne sur le bord du chemin.”

Notre stratégie est multiple car elle touche des populations différentes, par exemple 850 personnes âgées de plus de 80 ans, et pour une grande majorité d’entre elles vivant seules, peuvent bénéficier du dispositif des visites à domicile « Mona Lisa ».

La ville œuvre aussi au quotidien pour venir en aide aux plus fragiles notamment au travers de l’espace communal de solidarité et de ses structures attenantes : la résidence Paul Schrive qui ne désemplit pas, l’EHPAD, l’accueil de jour Alzheimer, le service seniors et les foyers, le centre de soins infirmiers ou encore la référente famille.

Notre politique de lutte contre les exclusions passe aussi par la mixité dans le programme de logement, par le développement de dispositifs innovants tels que les obsèques solidaires pour tous et qui permettent souvent un gain de pouvoir d’achat, comme la mutuelle communale pour tous, la carte unique offrant des réductions dans les commerces locaux, mais aussi et surtout des tarifs communaux solidaires pour que l’ensemble de nos services soit accessible à tous quel que soit le niveau de revenu.

Par exemple, le premier tarif pour l’accueil collectif de mineurs est de 20 centimes d’euros et personne, au niveau de la restauration scolaire et des repas à domicile, ne paie plus d’un tiers du coût réel de revient ou encore notre piscine municipale qui offre des tarifs parmi les moins chers du département.

“Sans oublier bien sûr les nombreuses actions qui dans d’autres villes sont payantes et qui sont ici gratuites pour les habitants et prises en charge par la municipalité.”

Alors que le dernier conseil municipal a salué la bonne gestion communale, j’ai souhaité rappeler que l’on peut bien gérer les finances de la ville tout en conservant une politique qui ne laisse personne sur le bord du chemin au travers d’une tarification solidaire même en ce qui concerne la culture ou les spectacles.

Penser la ville pour tous est à mes yeux essentiel car on ne la construit pas sans y mettre au cœur l’ensemble de ses habitants.

 

Coudekerque-Branche, ville bienveillante

Votre Maire

La transformation de l’ancienne salle de sport du Vieux Coudekerque en gymnase se termine

Difficile en regardant cette photo de l’entrée actuelle du nouveau gymnase de reconnaître la plus ancienne salle de sport de la ville, celle du quartier du Vieux Coudekerque, qui a connu une métamorphose incroyable.

Ce chantier d’importance pour le sport à Coudekerque-Branche (qui a rencontré nombre de difficultés toutes surmontées, notamment par la découverte d’amiante dans le précédent bâtiment existant) est en phase d’achèvement et sera terminé avant les vacances de Pâques pour la plus grande joie des nombreux gymnastes et riverains du quartier.

 

2019-02-26T14:09:05+01:0026 février, 2019|Catégories : Zoom|Mots-clés : , , , |

Ma cantine sans plastique

Face à l’inquiétude grandissante des parents quant aux barquettes en plastique, et aux soupçons par rapport aux perturbateurs endocriniens susceptibles de toucher les enfants, la ville de Coudekerque-Branche poursuit son combat pour la bonne nutrition en visant l’objectif zéro plastique dans les cantines.

Toujours un coud’avance
Depuis déjà plusieurs années, la ville est pionnière dans la réduction de l’utilisation du plastique pour des raisons de santé. Elle a déjà fait changer tous les biberons en plastique utilisés dans les crèches par des biberons en verre. Après avoir passé les cantines de la ville en 100 % circuit court et fabrication locale en favorisant le bio, la ville poursuit ses efforts pour que les enfants grandissent en bonne santé en remplaçant les barquettes en plastique par des barquettes en inox. Coudekerque-Branche a décidé d’anticiper une des dispositions de la loi Agriculture et alimentation qui impose cette interdiction au plus tard au 1er janvier 2025, de la crèche à l’université, pour les collectivités de plus de 2 000 habitants.

Un principe de précaution visant à protéger la santé des enfants

Compte tenu de leurs effets sur la santé, certains composés du plastique, dont le fameux bisphénol A (BPA), sont interdits en France, car reconnus comme des « perturbateurs endocriniens ». Ces derniers sont des substances chimiques accusées de contaminer et de perturber le système hormonal humain. Elles sont scientifiquement associées à l’épidémie de cancers hormonodépendants (comme le cancer du sein), à l’augmentation des cas d’infertilité et de puberté précoce ainsi qu’à la recrudescence des troubles métaboliques, comme le diabète de type 2 ou l’obésité. Mais ces interdictions ne sont pas suffisantes parce qu’en procédant à des analyses, on trouve encore du BPA dans certains contenants en plastique.

2019-02-26T09:49:36+01:0026 février, 2019|Catégories : Divers|Mots-clés : , , , , , , , , , |