nature

Pourquoi les arbres n’ont-ils pas été élagués ?

Chaque année, dès le début de septembre, les principaux grands boulevards de la ville qui traversent les quartiers (Jean Jaurès, Jean-Baptiste Lebas et Vauban) bénéficient d’une taille d’élagage au cordeau, permettant la mise en perspective de ces belles artères communales.

Or cette année, vous avez été nombreux à interpeller la municipalité sur les raisons de la non-réalisation de ce toilettage vert à la période habituelle.

La raison est simple : nos arbres ont fortement souffert de la sécheresse de l’été (même si cela ne se voit pas à l’oeil nu au contraire du gazon grillé) et il était donc nécessaire de laisser la nature reprendre ses droits.

L’élagage se déroulera à la période de la Toussaint.

 

 

Les collégiens de Boris Vian nettoient la nature

Dans le cadre de leur parcours citoyen, les éco-délégués, ainsi que les élèves de la SEGPA du collège Boris Vian, ont participé à l’action « Nettoyons la nature ».

Cette année, ce sont près de 180 kg de déchets divers qui ont été ramassés aux abords du parc par les 60 élèves du collège et leurs enseignants.

Une grainothèque à la Ferme Vernaelde

Le principe de la grainothèque est basé sur le troc : vous venez prendre des graines… en échange de celles que vous apportez ! Vous pouvez prendre des graines au moment où vous en avez besoin et vous engager moralement à en rapporter quand vous en aurez à partager après votre récolte.

Cependant chacun d’entre vous doit s’engager à ne prendre que le nombre de graines que vous pouvez cultiver et à en déposer d’autres le temps venu. Des sachets vous permettront de prendre la quantité dont vous avez besoin.

 

 

2022-09-30T15:49:14+02:0030 septembre, 2022|Catégories : Environnement, Nouveauté|Mots-clés : , , , , , , , , , |

Barbara Bailleul aide à la protection des animaux

Barbara Bailleul, conseillère départementale, aide la Ligue de protection des animaux et le centre de soins de la faune sauvage

Notre conseillère départementale et adjointe au cadre de vie et à la protection animale s’est engagée sur ses deniers personnels à aider financièrement le centre de soins de la faune sauvage du littoral. Notamment, en parrainant un phoque afin d’aider aux soins et à l’alimentation durant le temps de sa réhabilitation dans la structure pour pouvoir ensuite le relâcher en milieu naturel.

Un bel engagement à souligner !

 

 

Coudekerque-Branche, engagée pour la nature et le climat

L’agglomération dunkerquoise, qui compte des Villes natures comme Coudekerque-Branche, a été choisie par l’Europe comme étant parmi les plus soucieuses du climat.

Coudekerque-Branche, qui avait déjà accueilli en 2010 de nombreuses délégations européennes quant à sa politique de retour de la nature en ville, de lutte pour la biodiversité ou encore de l’anticipation pour la non-utilisation des produits phytosanitaires, ne peut que se réjouir de jouer un rôle dans ce programme d’actions lié à la transition écologique.

 

 

Le parc du Fort Louis à l’état sauvage à l’arrière et très bien entretenu à l’avant : pourquoi ?

Privilégier la biodiversité

La ville de Coudekerque-Branche favorise le fauchage tardif à l’arrière du parc pour permettre la reproduction des insectes et des petits animaux. De la même manière, il est largement préconisé par les spécialistes de la biodiversité de ne pas toucher aux haies avant fin juillet pour favoriser les nids.

Pour réussir ce pari de retour des espèces (et ça fonctionne puisque par exemple, depuis deux ans, les grenouilles et têtards, qui avaient complètement disparu, reviennent dans les plans d’eau et mares du parc), la ville a choisi volontairement de laisser plus de retour de la nature à l’arrière du parc.

C’est un choix responsable afin de préserver notre territoire.

 

 

Notre quotidien, c’est d’améliorer le vôtre

Pour avoir su partager avec vous vos impressions lors de la grande brocante et de la Fête de la Nature que nous avons réussi à maintenir tout en l’adaptant au protocole sanitaire en vigueur, j’ai pu mesurer ô combien vous étiez satisfaits que la ville ne cède pas aux annulations quand cela est possible.

Beaucoup d’entre vous m’ont remercié d’avoir organisé la manifestation et m’ont dit combien la peur de l’isolement, la peur de ne plus voir l’autre, était grande !

C’est pour cela, que même si nous adaptons quasiment le quotidien en fonction des décisions préfectorales, nous faisons tout pour continuer de faire vivre notre ville en maintenant, dès que possible, les activités, les animations ou encore nos pratiques festives.

“À Coudekerque-Branche, on fait en sorte que les Coudekerquois se sentent bien dans leur ville. Et d’ailleurs, on se sent bien dans notre commune !”

Je remercie d’ailleurs, l’ensemble des acteurs de la commune que ce soient le personnel communal, les élus, les associations, les bénévoles, les présidents des clubs sportifs, puisque tous ensemble nous faisons des efforts pour réussir ce challenge difficile.

Pour exemple, malgré l’annulation du grand concert, jamais une Fête de la Nature n’a entraîné autant de débauche d’énergie de la part de l’organisation pour faire en sorte que la fête soit réussie dans les meilleures conditions.

C’est important pour nous de garantir cette qualité de ville, cette qualité de vie à Coudekerque-Branche, car comme vous avez pu le remarquer, le monde de maintenant s’éternise et il devient de plus en plus rude. Notre société connaît un soubresaut économique lié à la crise sanitaire et l’on doit craindre de nombreuses difficultés sociales.

À nous de changer de logiciel, à nous de changer de système pour surmonter le modèle dépassé et réussir à réécrire celui d’aujourd’hui. Je suis convaincu que cela passera d’abord par l’échelon des territoires et des communes. Si nous nous lâchons, derrière il n’y a plus personne.

“Le monde de maintenant s’éternise et il devient plus rude, alors changeons-le !”

 

 

La station d’épuration devient un lieu de découverte pédagogique

La station d’épuration de Coudekerque-Branche, l’une des plus anciennes du Dunkerquois, n’a plus grand chose à voir avec celle qui s’était élevée pendant l’après-guerre dans le quartier Sainte Germaine. Cette année, le site va devenir un lieu de découverte pédagogique du cycle de l’eau.

Que de changements en dix ans pour la station !
Après la période de guerre, la station d’épuration avait été implantée à Sainte Germaine pour sa proximité avec le canal des Moëres. Il y avait une cuvette dans le canal qui permettait le rejet des eaux usées afin qu’elles ne remontent pas trop haut.

Mais, dans les années 70, un collectif a été créé pour protester contre les odeurs pestilentielles émanant de la station. En 2008, à l’arrivée de David Bailleul en tant que Maire de Coudekerque-Branche, un grand chantier de requalification a été décidé en partenariat avec la Communauté urbaine de Dunkerque. Plus de 17 millions d’euros sont alors investis dans un nouveau système de traitement des eaux usées. La nouvelle station est sortie de terre en 2010. Elle traite 42 000 m3 d’eaux usées de sept communes du Dunkerquois par jour sans odeur !

Avec la requalification, le site a été réduit de moitié, avec un square urbain d’un côté et les jardins familiaux de l’autre. La nature y a même repris ses droits avec des ruches, une prairie fleurie, des nichoirs et la pelouse est tondue seulement une fois par an.

Encore un plus pour la station
A partir de mars, la station d’épuration de Sainte Germaine deviendra un lieu de découverte pédagogique du cycle de l’eau pour l’ensemble des enfants de l’agglomération dunkerquoise. Une bonne nouvelle pour cette structure qui a vécu une très belle transformation écologique ces dernières années.

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